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Elle venait d'avoir 17 ans et depuis 10 ans elle était ma fidèle compagne de route ! Malgré son aspect encore fringant, la pauvre n'en pouvait plus. Les démarrages du matin, surtout par temps humide, étaient aussi laborieux que les premiers pas d'un grand rhumatisant, une certaine tendance à l'incontinence me donnait quelques soucis et j'angoissais sérieusement dès que je devais m'éloigner de plus de 15 kms de chez moi !
J'ai pensé un moment à la faire piquer...euh, non, à la mettre à la casse ! Et puis, à tout hasard, je l'ai mise sur "le Bon Coin". Incroyable ! L'annonce est parue à midi, à 14 h elle était vendue ! Pas bien cher, certes ; mais la voilà repartie pour une nouvelle vie. Une "Pigeot", vous pensez !
Ma nouvelle voiture ? Oooooh.... une jeunette ! A peine 15 ans.
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Elle venait d'avoir 17 ans et depuis 10 ans elle était ma fidèle compagne de route ! Malgré son aspect encore fringant, la pauvre n'en pouvait plus. Les démarrages du matin, surtout par temps humide, étaient aussi laborieux que les premiers pas d'un grand rhumatisant, une certaine tendance à l'incontinence me donnait quelques soucis et j'angoissais sérieusement dès que je devais m'éloigner de plus de 15 kms de chez moi !
J'ai pensé un moment à la faire piquer...euh, non, à la mettre à la casse ! Et puis, à tout hasard, je l'ai mise sur "le Bon Coin". Incroyable ! L'annonce est parue à midi, à 14 h elle était vendue ! Pas bien cher, certes ; mais la voilà repartie pour une nouvelle vie. Une "Pigeot", vous pensez !
Ma nouvelle voiture ? Oooooh.... une jeunette ! A peine 15 ans.
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Comme promis hier, voici quelques photos supplémentaires du Mont...
L'entrée de l'abbatiale et la terrasse d'où l'on domine toute la baie. L'intérieur en est simple, élancé, lumineux. Par chance, ce jour là il y avait peu de monde....
Les sculptures à l'intérieur du cloître
Je ne me lasse pas de cette vue sur la baie.
La vitre qui sécurise cet endroit
est invisible de l'intérieur.
C'est vraiment impressionnant
d'être ainsi au bord du vide !
Les colonnes qui soutiennent le réfectoire.
Des chapelles cachées, des escaliers où la roche affleure mais toujours éclairés par la lumière du jour ! J'ai une admiration profonde pour ceux qui ont construit cette merveille....
On quitte l'abbaye (à regrets) par les jardins où le printemps commence à fleurir.
Le plaisir des vacances est de prendre tout son temps pour s'arrêter dans de petites criques cachées, se prerdre sur des chemins qui ne mènent nulle part et déboucher sur des merveilles. La côte est magnifique et lorsque le soleil est de la partie c'est encore mieux !
Dinard mérite également une visite. La ville étale sans complexe sa richesse, ses villas de rêve, ses boutiques de luxe, son évidente douceur de vivre. Entre l'estuaire de la Rance et la mer, je dois dire que sa réputation n'est pas surfaite !
Il ne reste plus ensuite qu'à suivre la route côtière, faire un petit crochet par le Cap Fréhel et prendre le chemin du retour avec une grosse envie de "pas rentrer"...
A gauche, une villa à la sortie de DInard. On devine Saint-Malo en face. A gauche, le Cap Fréhel.
Voilà, voilà... Les vacances sont finies ! Vous savez quoi ? Vivement les prochaines !
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Comme promis hier, voici quelques photos supplémentaires du Mont...
L'entrée de l'abbatiale et la terrasse d'où l'on domine toute la baie. L'intérieur en est simple, élancé, lumineux. Par chance, ce jour là il y avait peu de monde....
Les sculptures à l'intérieur du cloître
Je ne me lasse pas de cette vue sur la baie.
La vitre qui sécurise cet endroit
est invisible de l'intérieur.
C'est vraiment impressionnant
d'être ainsi au bord du vide !
Les colonnes qui soutiennent le réfectoire.
Des chapelles cachées, des escaliers où la roche affleure mais toujours éclairés par la lumière du jour ! J'ai une admiration profonde pour ceux qui ont construit cette merveille....
On quitte l'abbaye (à regrets) par les jardins où le printemps commence à fleurir.
Le plaisir des vacances est de prendre tout son temps pour s'arrêter dans de petites criques cachées, se prerdre sur des chemins qui ne mènent nulle part et déboucher sur des merveilles. La côte est magnifique et lorsque le soleil est de la partie c'est encore mieux !
Dinard mérite également une visite. La ville étale sans complexe sa richesse, ses villas de rêve, ses boutiques de luxe, son évidente douceur de vivre. Entre l'estuaire de la Rance et la mer, je dois dire que sa réputation n'est pas surfaite !
Il ne reste plus ensuite qu'à suivre la route côtière, faire un petit crochet par le Cap Fréhel et prendre le chemin du retour avec une grosse envie de "pas rentrer"...
A gauche, une villa à la sortie de DInard. On devine Saint-Malo en face. A gauche, le Cap Fréhel.
Voilà, voilà... Les vacances sont finies ! Vous savez quoi ? Vivement les prochaines !
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Ca y est, les vacances sont terminées ! Me revoici donc, fraîche et dispose après tous ces jours de soleil et de douceur et ravie de vous retrouver !
Avant d'arriver au camp de base, autrement dit Saint-Malo, Dinan fut la première étape des vacances. Après les andouillettes-frites-salade-café, les touristes étant encore peu nombreux, découvrir la cité médiévale sous le soleil fut un vrai plaisir. Dinan, ce sont des ruelles pavées, étroites, tortueuses, bordées de très belles maisons à colombages (photo), des petites places ombragées, les remparts d'où l'on domine la Rance. On y descend, entre des jardins un peu cachés et c'est ravissant.
Et puis, on arrive à Saint-Malo ! Diablement séduisante la cité corsaire !
Les photos se passent de commentaire mais elles ne sont qu'un tout petit aperçu de ce qu'est la ville dans son ensemble. Les demeures qui longent la plage témoignent de sa richesse passée et certaines "villas" sont assez fastueuses. Un endroit à visiter tout en ayant conscience que le touriste représente une manne et que tout est fait ici pour lui faire vider son porte-feuille !
Mais le Mont-Saint-Michel est largement gagnant à ce jeu là ! Mais, il faut y aller. Il faut s'abstraire du parking, des travaux, des japonais en rangs serrés, des boutiques de souvenirs...en résumé, de toute l'industrie touristique. Le Mont-Saint-Michel ne se raconte pas...
Au moins 350 marches à grimper pour arriver à l'Abbaye ! Sans compter les autres... On arrive en haut un peu essoufflés mais la vue est époustoufflante et la visite magique. Entre deux groupes de touristes asiatiques, il nous est même arrivé de nous retrouver seuls, ce qui est impossible l'été. Les photos seront plus parlantes que moi. Alors je me tais !
Si vous regardez bien, sur la photo de droite, vous voyez où se situe le cloître, tout en haut, dont la photo est ci-dessous !
Pour aujourd'hui, c'est tout ! Si vous êtes sages, demain je mettrai encore quelques photos de l'intérieur... avec la suite et fin du voyage. Là, je recommence à avoir quelques courbatures aux mollets !
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