•   J'aimerais vraiment que votre nouvelle année soit exempte de tout souci, de tout chagrin, de tout problème mais cela me paraît un peu utopique... Je vous souhaite donc plein de petits et grands bonheurs, éparpillés tout au long des jours et des mois, de ceux qui rendent la vie plus douce, qui tissent des souvenirs à éclairer les jours plus sombres...
    En cadeau, ce "tube" extrait des "Pécheurs de perles" de G. Bizet. L'enregistrement date de 1960 mais Nicolaï Gedda est sans doute celui dont la voix convient le mieux à cet aria. J'ai entendu beaucoup d'autres interprètes (Alagna y est catastrophique !) mais lui seul rend ici toute la finesse, la délicatesse et l'émotion. C'est parfait ! 
    PS : Après recherche, une version plus récente peut presque lui faire concurrence, celle de Michael Spyres qu'il est possible d'écouter sur youtube. Et pour être tout à fait honnête, celle d'Alain Vanzo (plus ancienne) n'est pas mal non plus.
     
     
     
      TRES BONNE ET TRES HEUREUSE ANNEE 2014 ! 
         

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     Je vous souhaite à toutes et à tous un très Joyeux Noël,

    une parenthèse de douceur et de tendresse,

    pleine de rires, de bonne humeur, sans oublier le champagne

    et quelques autres plaisirs gustatifs   !


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     Je vous souhaite à toutes et à tous un très Joyeux Noël,

    une parenthèse de douceur et de tendresse,

    pleine de rires, de bonne humeur, sans oublier le champagne

    et quelques autres plaisirs gustatifs   !


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    WP 001389

     

     Décidément, je n'aime pas les cimetières, même paysager ! Je n'aime pas les stèles de marbre, les noms écrits à l'or fin, les fleurs artificielles, tout ce dont les morts se fichent complètement et qui ne sont là que pour rassurer les vivants ou flatter leur orgueil. Comme si l'affection ou l'estime que l'on portait à quelqu'un se mesurait au kilo de marbre ou à la richesse de la "décoration".... Tout cela me laisse perplexe.

    Ma mère est partie et je ne voudrais pas manquer de tact ni être la "vilaine fille", mais à travers les hommages qui lui ont été rendus, tant par la presse que par les personnes qu'elle avait côtoyées, j'ai du mal à faire coïncider l'image que j'en garde avec celle qu'elle donnait à l'extérieur. Suis-je passée à côté ? Je ne sais pas !

    Personnalité à composante typiquement histrionique, elle était un peu comme ces personnes encensées socialement qui sont dans l'intimité d'autoritaires et invivables tyrans !

    Bien sûr, sa vie a été jalonnée d'épreuves incontestables qui expliquent sans doute en partie ce qu'elle fut. Dans mon souvenir, elle ne s'épanouissait vraiment que pendant les vacances d'été ; nous quittions Bordeaux pour la mer ou la montagne de la fin des classes à la rentrée et je crois que ce sont les seuls moments où j'ai pu voir ma mère légère, insouciante, rieuse ! La rentrée sonnait le glas de ces moments de grâce...

    Aujourd'hui, je serais hypocrite en disant que je suis inconsolable. Pourtant, je sens qu'il va me falloir un peu de temps pour apaiser mes turbulences et ma mémoire et la laisser vivre dans les souvenirs comme il conviendra à chacun.


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    WP 001389

     

     Décidément, je n'aime pas les cimetières, même paysager ! Je n'aime pas les stèles de marbre, les noms écrits à l'or fin, les fleurs artificielles, tout ce dont les morts se fichent complètement et qui ne sont là que pour rassurer les vivants ou flatter leur orgueil. Comme si l'affection ou l'estime que l'on portait à quelqu'un se mesurait au kilo de marbre ou à la richesse de la "décoration".... Tout cela me laisse perplexe.

    Ma mère est partie et je ne voudrais pas manquer de tact ni être la "vilaine fille", mais à travers les hommages qui lui ont été rendus, tant par la presse que par les personnes qu'elle avait côtoyées, j'ai du mal à faire coïncider l'image que j'en garde avec celle qu'elle donnait à l'extérieur. Suis-je passée à côté ? Je ne sais pas !

    Personnalité à composante typiquement histrionique, elle était un peu comme ces personnes encensées socialement qui sont dans l'intimité d'autoritaires et invivables tyrans !

    Bien sûr, sa vie a été jalonnée d'épreuves incontestables qui expliquent sans doute en partie ce qu'elle fut. Dans mon souvenir, elle ne s'épanouissait vraiment que pendant les vacances d'été ; nous quittions Bordeaux pour la mer ou la montagne de la fin des classes à la rentrée et je crois que ce sont les seuls moments où j'ai pu voir ma mère légère, insouciante, rieuse ! La rentrée sonnait le glas de ces moments de grâce...

    Aujourd'hui, je serais hypocrite en disant que je suis inconsolable. Pourtant, je sens qu'il va me falloir un peu de temps pour apaiser mes turbulences et ma mémoire et la laisser vivre dans les souvenirs comme il conviendra à chacun.


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